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Seminar : Comprendre le XXe siècle des musées (II)

École pratique des hautes études, EPHE, 2011-2012

Conférence d’Agnès Callu

Le mardi de 18h à 20h

Salle EPHE de l’INHA

2, rue Vivienne

75002 Paris

Comprendre le XXe siècle des musées, (II)

Choisir d’installer sur la table universitaire le musée du XXe siècle comme objet historique suppose d’apprécier les enjeux politiques, sociaux, culturels et économiques qu’il suscite, à l’échelle de l’État comme des collectivités territoriales, dans une société ouverte à la novation esthétique et patrimoniale en même temps qu’elle adopte l’acculturation des codes hiérarchiques et les évolutions entrepreneuriales ou technologiques. Outre le commentaire, sur le mode historiographique, de la production scientifique du domaine – plurielle car distribuée, parfois en tensions, autour de deux pôles souvent opposés : l’Histoire culturelle et l’Histoire de l’art – un panorama des matériaux disponibles à la recherche s’avère l’indispensable préalable. Puis, prenant appui sur des fondations méthodologiques dès lors posées, plusieurs thèmes sont abordés, questionnant, en longue durée, le musée et ses représentations, entre élitisme social, promotion de la culture pour tous ou merchandising des biens culturels. Sont alors ouvertes et/ou creusées – souvent en diachronie à l’aide du témoignage d’anciens acteurs – plusieurs pistes de réflexion amenant à discuter la figure du musée dans les imaginaires collectifs, le capital symbolique d’un geste architectural, le trilogue entre l’œuvre, l’artiste et le conservateur ou bien encore la place des hommes : érudits, bâtisseurs ou décideurs dans la structuration et le fonctionnement de celui qui, entre désir et pédagogie, se définit comme « une institution permanente […] au service de la société et de son développement, ouverte au public, qui acquiert, conserve, étudie, expose et transmet le patrimoine matériel et immatériel de l’humanité et de son environnement à des fins d’études, d’éducation et de délectation […] ».

Séance 1). 22 novembre 2011. Objet(s), méthode(s) et historio-bibliographie(s)

Enjeux et perspectives (Agnès Callu, EPHE)

L’HISTOIRE DES MUSEES PAR LES SOURCES

Séance 2). 6 décembre 2011. Lire, interpréter et confronter les sources

  • Le musée d’Orsay : objet-lieu de recherche (Alice Thomine-Berrada, Musée d’Orsay)

Séance 3). 13 décembre 2011. Lire, interpréter et confronter les sources (suite)

  • Les Archives de la critique d’art : pratiques historiennes (Jean-Marc Poinsot, Université Rennes 2)

ETRE AU MUSEE

Séance 4). 10 janvier 2012. Personnaliser le musée

  • Jean Cassou et le musée d’art moderne : la modernité ? (Agnès Callu, EPHE et Emmanuelle de l’Ecotais, Musée d’art moderne de la Ville de Paris)
  • Grand témoin : entretien d’Alfred Pacquement (Musée national d’Art moderne) [interview enregistré]

Séance 5). 2 février 2012. Administrer le musée

  • Fonction : Directeur des musées nationaux, profils et trajectoires (Agnès Callu, EPHE et Catherine Granger, EPHE)
  • Grand témoin : entretien de Jacques Sallois, ancien directeur des musées nationaux (Commission de récolement des dépôts d’oeuvres d’art) [audition et décryptage]

AGIR EN FAVEUR/DEFAVEUR DU MUSEE ?

Séance 6). 14 février 2012. Exporter le musée

  • « Dupliquer » le musée à l’étranger (Frédéric Poulard, Lille 1)
  • Discutant : Laurence des Cars (Agence France-Museums)

Séance 7). 13 mars 2012. Piller et spolier les œuvres : « le musée d’Hitler »

  • La spoliation des collectionneurs juifs pendant la Seconde Guerre mondiale (Didier Schulmann, Musée national d’Art moderne)
  • Grand témoin : entretien de Jean-Jacques Bauer, petit-fils du collectionneur Simon Bauer [interview enregistré et filmé]

AUTOUR DU MUSEE

Séance 8). 3 avril 2012. Galeries et galeristes

  • Les galeries parisiennes pendant la Grande Guerre (Claire Maingon, Université d’Evry)
  • Grand témoin : entretien de Daniel Cordier, sous réserve [interview enregistré et filmé]

Séance 9). 15 mai 2012. Marchands, antiquaires et collectionneurs

  • David David-Weill, “l’un des plus grands collectionneurs du monde”(Agnès Callu, EPHE)
  • Grand témoin : Hervé Aaron, président du Syndicat national des antiquaires (Galerie Didier Aaron et Cie, sous réserve)

Séance 10). 29 mai 2012. Projets et conclusions

Présentation du séminaire 2012-2013

Bilan de la conférence (Agnès Callu, EPHE)

Ancienne élève de l’École nationale des Chartes (thèse publiée sur la Réunion des musées nationaux sous la IIIe République, Prix Lenoir) et de l’Institut national du Patrimoine, Docteur en histoire contemporaine de l’Institut d’études politiques de Paris (thèse publiée sur le philosophe esthéticien et critique d’art Gaëtan Picon, 1915-1976, Prix Gustave Chaix d’Est Ange), Agnès Callu est historienne, conservateur du Patrimoine au musée des Arts décoratifs, chercheur associé au CNRS (Institut d’histoire du temps présent, IHTP), chargé de cours à l’Université Paris – Sorbonne (Paris IV) et à Sciences Po ainsi que chargé de conférences à l’École pratique des hautes études (EPHE)

Seminar: Comprendre le XXe siècle des musées

École pratique des hautes études, EPHE
2010-2011
Direction d’études de Jean-Michel Leniaud

Conférence d’Agnès Callu
Le mardi de 18h à 20h
Salle EPHE de l’INHA
2, rue Vivienne
75002 Paris

Comprendre le XXe siècle des musées

Choisir d’installer sur la table universitaire le musée du XXe siècle comme objet historique suppose d’apprécier les enjeux politiques, sociaux, culturels et économiques qu’il suscite, à l’échelle de l’État comme des collectivités territoriales, dans une société ouverte à la novation esthétique et patrimoniale en même temps qu’elle adopte l’acculturation des codes hiérarchiques et les évolutions entrepreneuriales ou technologiques. Outre le commentaire, sur le mode historiographique, de la production scientifique du domaine – plurielle car distribuée, parfois en tensions, autour de deux pôles souvent opposés : l’Histoire culturelle et l’Histoire de l’art – un panorama des matériaux disponibles à la recherche s’avère l’indispensable préalable. Puis, prenant appui sur des fondations méthodologiques dès lors posées, plusieurs thèmes sont abordés, questionnant, en longue durée, le musée et ses représentations, entre élitisme
social, promotion de la culture pour tous ou merchandising des biens culturels. Sont alors ouvertes et/ou creusées – souvent en diachronie à l’aide du témoignage d’anciens acteurs – plusieurs pistes de réflexion amenant à discuter la figure du musée dans les imaginaires collectifs, le capital symbolique d’un geste architectural, le trilogue entre l’œuvre, l’artiste et le conservateur ou bien encore la place des hommes : érudits, bâtisseurs ou décideurs dans la structuration et le fonctionnement de celui qui, entre désir et pédagogie, se définit comme « une institution permanente […] au service de la société et de son développement, ouverte au public, qui acquiert, conserve, étudie, expose et transmet le patrimoine matériel et immatériel de l’humanité et de son environnement à des fins d’études, d’éducation et de délectation […] ».

Séance 1). 23 novembre 2010. Objet(s), méthode(s) et historio-bibliographie(s)
Enjeux et perspectives (Agnès Callu)
L’IMEC et les fonds d’artistes (Yves Chèvrefils-Desbiolles)

Séance 2). 7 décembre 2010. Lire, interpréter et confronter les sources
Les fonds d’archives des Musées nationaux et de l’INHA (Catherine Granger et Martine Poulain)

Séance 3). 14 décembre 2010. Lire, interpréter et confronter les sources (suite)
Les archives du Musée national d’art moderne (Didier Schulmann)

Séance 4). 18 janvier 2011. Imaginer un musée
Gaëtan Picon : plaidoyer pour un nouveau musée d’art moderne (Agnès Callu)
Grand témoin : entretien de Robert Bordaz, ancien président du Centre Pompidou [audition et décryptage]

Séance 5). 1er février 2011. Bâtir un musée
Le Centre Pompidou-Metz : enjeux et chef-d’œuvres (Laurent Le Bon, CPM)
Grand témoin : entretien d’Émile-Jean Biasini, ancien secrétaire d’État aux Grands travaux [audition et décryptage]

Séance 6). 15 février 2011. Incarner un musée
Jacques Jaujard ou le mythe résistentialiste du Louvre occupé (Côme Fabre, ENS-Ulm)
Discutant : Écrire l’histoire du Louvre (Guillaume Fonkenell, Musée du Louvre)

Séance 7). 15 mars 2011. Travailler au Musée
François Mathey : les Arts décoratifs aux mains d’un conservateur révolutionnaire ? (Brigitte Gilardet, IEP de Paris)
Grand témoin : entretien de Germain Viatte, conservateur général honoraire du Patrimoine [interview enregistré et filmé]

Séance 8). 5 avril 2011. Développer un musée
La Réunion des musées nationaux : un établissement public en faveur d’une identité muséale française (Agnès Callu)
Grand témoin : entretien d’Irène Bizot, ancien administrateur général de la RMN [interview enregistré et filmé]
Discutante : Existe-t-il une appellation contrôlée « Musées nationaux ? » (Chantal Georgel, INHA) [sous réserve]

Séance 9). 17 mai 2011. L’artiste dans le musée
Au musée et dans les galeries : l’artiste et ses œuvres, 1930-1940 (Claire Maingon)
Discutante : Exposer les artistes vivants (Emmanuelle de l’Écotais, Musée national d’art moderne de la ville de Paris)

Séance 10). 31 mai 2011. Projets et conclusions
Présentation du projet éditorial « Dictionnaire historique et culturel du Louvre » (Yannick Lintz, Musée du Louvre)
Bilan de la conférence (Agnès Callu)

Ancienne élève de l’École nationale des Chartes (thèse publiée sur la Réunion des musées nationaux sous la IIIe République, Prix Lenoir) et de l’Institut national du Patrimoine (promotion Hubert Robert), Docteur en histoire contemporaine de l’Institut d’études politiques de Paris (thèse sous presse sur le philosophe esthéticien et critique d’art Gaëtan Picon, 1915-1976), Agnès Callu est historienne, conservateur du Patrimoine, chercheur associé au CNRS (Institut d’histoire du temps présent, IHTP), chargé de cours à l’Université Paris – Sorbonne (Paris IV) et à Sciences Po ainsi que chargé de conférences à l’École pratique des hautes études (EPHE)

CFP Sixième Rencontre internationale des jeunes chercheurs en patrimoine. La sélection patrimoniale

Depuis 2005, les Rencontres internationales des jeunes chercheurs en patrimoine invitent annuellement étudiants, doctorants, docteurs et postdoctorants à conférer sur divers aspects de la patrimonialisation, alternativement au Québec et en France, sous la tutelle scientifique de l’Institut du patrimoine de l’Université du Québec à Montréal et de ses partenaires. En 2010, la Sixième rencontre, dévolue à La sélection patrimoniale, se tiendra du 7 au 9 octobre à Paris, sous le parrainage de l’École nationale des chartes, institution hôte. Jean-Michel Leniaud est le directeur scientifique de l’événement, co-organisé par la Chaire de recherche du Canada en patrimoine urbain (Luc Noppen, Université du Québec à Montréal), par le groupe interuniversitaire de recherche sur les paysages de la représentation, la ville et les identités urbaines (Lucie K. Morisset, Université du Québec à Montréal) et par le Forum canadien de recherche publique sur le patrimoine. La coordination scientifique de l’événement a été confiée à Anne Richard-Bazire (annerichardbazire@ hotmail.com) et à Martin Drouin (drouin.martin@ uqam.ca).

La date limite pour soumettre une proposition est le 1er mai 2010. Pour ce faire, veuillez envoyer le titre de votre proposition, un résumé d’un maximum de 500 mots (à prévoir pour une communication d’une durée de vingt minutes) et une courte notice biographique. Les propositions seront évaluées par un comité scientifique en fonction de leur pertinence par rapport au thème, de l’originalité de leur questionnement ainsi que de la qualité générale de leur argumentaire.

Les frais de déplacement des intervenants pourront être partiellement subventionnés, selon les disponibilité s budgétaires. La Chaire de recherche du Canada en patrimoine urbain pourra aussi offrir quelques bourses de voyage aux intervenants.

Revus par un comité éditorial, des articles issus des quatre premières Rencontres internationales des jeunes chercheurs en patrimoine ont été publiés dans des ouvrages collectifs dédiés à cette fin; les actes de la cinquième rencontre sont actuellement sous presse. Il est prévu que les communications de cette sixième rencontre fassent l’objet d’un projet d’édition semblable.

Argumentaire

Le patrimoine naît de la sélection; isolé, identifié parmi ses semblables et extrait du monde commun, l’objet patrimonial provient d’un choix, conscient ou inconscient. Qu’il soit matériel ou immatériel, ses caractéristiques se trouvent alors dévolues à une fonction nouvelle : transmettre ou représenter la vision du monde qui a animé sa sélection.

Les institutions patrimoniales ont, depuis diverses époques, inventé des méthodes pour encadrer une sélection pensée comme volontaire : celles-ci ont prêté vie à des critères variés, censés dresser un ensemble de référence pour permettre au sélectionneur d’exercer son jugement et son appréciation de façon informée, transparente, voire objective. Élevés dans le giron des monuments nationaux, ces critères ont évolué à la mesure des univers de représentation dans lesquels ils étaient situés, en se déclinant dans le grand patrimoine mondial ou en se diversifiant face au patrimoine de proximité. Selon l’institution patrimoniale et selon les fins mêmes de la patrimonialisation, la sélection a ainsi influé sur les carapatrimoinees du patrimoine ; en retour, l’inflation patrimoniale et la relativisation des patrimonialisations à l’échelle de la planète, en confrontant différentes pensées du patrimoine, interpellent aujourd’hui les modalités et les finalités des méthodes de sélection.

Ontologique ou pragmatique, la réflexion critique sur la sélection patrimoniale n’est certes pas nouvelle : cristallisée dans les institutions patrimoniales qui se sont généralisées en Occident dans les premières décennies du XXe siècle, elle apparaît en Europe avec la fixation d’une pensée et de pratiques patrimoniales communes, autour de la fin du XIXe siècle, comme l’illustre le désormais fameux opuscule d’Aloïs Riegl (1903), d’ailleurs de plus en plus communément cité de nos jours, plus de vingt ans, maintenant, après ses premières traductions anglaise (1982) et française (1984). Si cette résurgence, à travers la« valeurs est devenu usuel de discuter des « valeurs » patrimoniales, ne signe pas nécessairement une crise de la sélection, elle révèle à tout le moins, outre un certain tropisme patrimonial, la nécessité, pour nos contemporains, de prendre « critères e avec le matérialisme positiviste des « critères » fondateurs de l’exercice institutionnel du patrimoine, imaginés par des experts et applicables par des exécutants de la sélection. Cela, qui pose les questions de l’évolution de la sélection patrimoniale et de l’interrelation entre celle-ci et des conceptions différenciées du patrimoine, met aussi en cause la pratique de la sélection aujourd’hui à l’intérieur ou à l’extérieur des organismes qui en détiennent la responsabilité . Quel patrimoine choisir, comment le choisir, et d’après quelle méthode ? Pourquoi, d’ailleurs, choisir celui-ci et non pas celui-là ?

Cette Sixième Rencontre internationale des jeunes chercheurs en patrimoine se penche ainsi sur la sélection patrimoniale, sur ses causes, ses motifs et ses effets, depuis le patrimoine national et le patrimoine mondial jusqu’aux territoires réduits, mais démultipliés, de la proximité. Seront reçues les propositions de communication qui, dans une perspective diachronique ou synchronique, interrogeront les buts, les systèmes, les processus ou les mécaniques de la sélection patrimoniale à travers un ou des cas, historiques ou contemporains, sous trois aspects non exclusifs. Le premier concerne l’objectif des méthodes de sélection : quelles sont-elles, quels critères les animent, quels pourraient-ils être, qui en sont ou en seraient les animateurs ? Le deuxième s’attache au pourquoi : à quoi sert de sélectionner, quels sont ou ont été les desseins de la sélection patrimoniale selon les contextes ? Le troisième axe de cet appel à communications s’intéresse au comment : volontaire ou inconsciente, de quelle façon une sélection influe-t-elle sur les configurations et sur les significations du patrimoine ? En somme, il s’agit de comprendre les phénomènes de patrimonialisation historiques ou contemporains de façon aussi bien théorique que pratique, en contextualisant les choix patrimoniaux anciens ou futurs par rapport aux temps, aux lieux, aux acteurs et aux méthodes qui les caractérisent et à travers lesquels la sélection patrimoniale atteint ou non ses finalités.

Pour de plus amples renseignements ou pour s’inscrire : contactez Martin Drouin, coordonnateur de l’Institut du patrimoine, au 1-514-987-3000 poste 5626 ou par courrier électronique à drouin.martin@ uqam.ca.

Prière d’envoyer vos propositions à l’Institut du patrimoine, Université du Québec à Montréal, institutdupatrimoin e@uqam.ca.

Date limite : 1er mai 2010

Séminaire Histoire orale et archives orales

Histoire orale et archives orales

Constitution, critique et valorisation du patrimoine oral

Le séminaire de méthode semestriel 2009-2010 « Histoire, orale, archives orales et mémoire orale. Constitution, critique et valorisation du patrimoine oral » de Florence Descamps se déroule à l’École pratique des hautes études les mercredi de 9h à 12h.

Source : http://calenda.revues.org/nouvelle15195.html

Ecole pratique des hautes études (Sciences historiques)
Sorbonne, escalier E, 1er étage droite.
Mercredis de 9h à 12h

Programme

Mercredi 21 octobre 2009

Introduction à la notion d’ingénierie culturelle, patrimoniale et historique. L’expérience des Comités d’histoire et des Associations d’histoire d’entreprise dans le dernier quart du XXè siècle.

Mercredi 4 novembre 2009

Une ingénierie particulière : celle des archives orales. De l’histoire orale aux archives orales : histoire de l’acclimatation de la source orale dans la discipline historique.

Mercredi 18 novembre 2009

Constitution d’un patrimoine oral en France au XXè siècle.

Mercredi 25 novembre 2009

Ingénierie des archives orales. La préparation d’une campagne d’archives orales. Méthodes d’entretien, conduite de l’entretien.

Mercredi 2 décembre 2009

Traitement documentaire et patrimonial des entretiens. Critique de la source orale en histoire. Usages et valorisations des témoignages oraux

Mercredi 9 décembre 2009

Acclimater une démarche patrimoniale et historique dans une organisation administrative : le cas des archives orales filmées de l’OFPRA (A. Angoustures, OFPRA)

Mercredi 16 décembre 2009

Cyril Isnart anthropologue, Université de Evora, interviendra le mercredi 16 décembre 2009 de 9 h 30 à 12 h sur : « Sources orales et Patrimoine culturel immatériel ».

Entrée libre, en Sorbonne, escalier E, 1er étage droite, salle Gaston Pâris
S’inscrire auprès de Florence Descamps florencedescamps@wanadoo.fr

Mercredi 7 janvier 2010

Jean-Claude Mouton, photographe et vidéocinéaste à la BDIC interviendra le mercredi 6 novembre 2010 de 9 h 30 à 12 h sur :  « L’entretien filmé à caractère patrimonial ou historique :  aspects techniques, pratiques de filmage et principes d’analyse des images ».

Entrée libre, en Sorbonne, escalier E, 1er étage droite, salle Gaston Pâris
S’inscrire auprès de florencedescamps@wanadoo.fr