Monthly Archives: December 2020

Job: Offre de stage – anthropologie du patrimoine – Rennes

Le service de l’inventaire du patrimoine de la Région Bretagne, en collaboration avec le “Chantier Notre-Dame” (CNRS et Ministère de la Culture), lance un appel à candidature pour un stage de 6 mois auprès du service à Rennes. L’objectif du stage consiste en une enquête anthropologique sur l’incendie et la reconstruction de l’église de Trémel dans les Côtes d’Armor.Date limite de candidature : 7 janvier 2021
https://www.bretagne.bzh/recrutement/offres/stage-la-reconstruction-de-notre-dame-de-la-merci-a-tremel-22-3447/

Job: Master 2 ou Ingénieur “Analyse socio-économique des trajectoires de l’identité patrimoniale des zones humides”

Stage de chargé.e d’études des dispositifs d’action publique :

Analyse socio-économique  des trajectoires de l’identité patrimoniale des zones humides

Date-limite d’envoi des candidatures : 10  janvier 2021

Contexte du stage                                                                                                                        

Les zones humides littorales sont des espaces attractifs. Elles attirent touristes, résidents permanents et sont le support de nombreuses activités économiques spécifiques à ces milieux humides (conchyliculture, élevage extensif…). Elles représentent par ailleurs des hauts lieux de protection pour préserver ces réservoirs de biodiversité pourvoyant de nombreuses fonctions écologiques (telles que la filtration de l’eau, la séquestration du carbone…). Ces enjeux d’usage et de préservation s’enchevêtrent voire se confrontent différemment selon les territoires littoraux (Cazals C., Dachary-Bernard J., Lemarié-Boutry M. , 2015) .

L’étude proposée dans ce stage est portée par l’UR ETBX du centre INRAE Nouvelle Aquitaine Bordeaux dans le cadre du projet ANR PAMPAS (2019-2022, https://pampas.recherche.univ-lr.fr/). Ce projet de recherche s’intéresse au devenir des zones humides littorales dans un contexte de changements globaux. Adoptant une approche interdisciplinaire, il se focalise plus particulièrement sur l’évolution de l’identité patrimoniale des marais des Pertuis Charentais face à l’aléa de submersion marine (marais du Fier d’Ars, marais de Brouage, marais de Tasdon). Les territoires littoraux se caractérisent de fait par une diversité de patrimoines, allant des objets patrimoniaux naturels (biodiversité, fonctions écosystémiques), culturels (monuments, architectures), paysagers (sites exceptionnels et ordinaires) ou encore productifs (savoir-faire). La coexistence des enjeux de préservation et de développement économique entraîne une diversité de logiques patrimoniales contribuant aux processus de patrimonialisation (Rivaud A., Cazals C., 2012 ; Cazals C., Rivaud A., 2014)  que les chercheurs du projet PAMPAS entendent appréhender à l’aune des changements globaux. Ces changements entraînant l’augmentation des populations et des activités sur les zones littorales, de même qu’un accroissement de leur vulnérabilité face aux submersions, l’analyse des  choix de  politiques de gestion du littoral et des zones humides contribue à la compréhension de l’évolution du fonctionnement et du devenir des zones humides littorales.

Dans ce contexte, l’objectif du stage  (Work Package 3 du projet PAMPAS) est de contribuer à l’analyse des transformations de l’identité patrimoniale des marais charentais face à l’aléa de submersion marine en étudiant l’évolution des dispositifs de protection des zones humides et les débats et controverses inhérents à leur mise œuvre.

Objectifs et missions

Dans le cadre du projet PAMPAS et du WP3 en cours actuellement, plusieurs travaux ont été menés, dont des entretiens auprès des usagers et des gestionnaires des marais afin d’analyser les pratiques et les logiques des acteurs locaux. Le stage a pour objectif de documenter l’évolution de l’identité patrimoniale des marais et de saisir les ressorts des modalités actuelles de gestion de ces espaces.

Dans un premier temps, à partir d’une analyse de la presse locale et des entretiens déjà réalisés dans le cadre du projet PAMPAS, le.a stagiaire s’attachera à identifier les acteurs du processus de patrimonialisation, leurs différentes visions du patrimoine et leur mode d’action durant le processus de patrimonialisation que connaissent les zones humides depuis les années 80. 

Dans un deuxième temps, à partir d’une base co-construite par l’ensemble des chercheurs du projet et qui recense les différentes fonctions et objets patrimoniaux des marais, l’étudiant.e remplira des fiches prédéfinies pour nourrir cette base de données. Le.a stagiaire proposera également un premier travail exploratoire des données de la base à partir des outils d’analyse textuelle.

Un mémoire de stage permettant de rendre compte du travail effectué est attendu.   

Début de stage entre février et avril 2021 ; pour une durée de 6 mois   

Profil recherché

v  Formation d’ingénieur / Master 2 en sciences sociales (économie/géographie/ sociologie) ou en gestion de l’environnement

v  Connaissances souhaitables sur les dispositifs de protection des ressources naturelles et les questions de compatibilité des usages que cela soulève

v  Connaissance et expérience dans l’analyse de données qualitatives

v  Autonomie et prêt(e) à se déplacer

v  Permis B

Conditions d’encadrement et matérielles

v  Le stage sera encadré par Clarisse Cazals et Clémence Dedinger

v  Localisation au centre INRAE de Bordeaux-Cestas (50 avenue de Verdun, Gazinet, 33612 CESTAS)

v  Accès aux ressources scientifiques (documentation, logiciels d’analyse textuelle…) et matérielles (poste de travail, frais de missions pour les besoins d’enquête, accès  à  la cantine  à  un  tarif  préférentiel  et remboursement à hauteur de 50% des frais de transport en commun « domicile-travail » sur justificatifs) du laboratoire

v  Gratification mensuelle (3,90€ par heure effectuée)

Postuler : jusqu’au  10 janvier 2021

                                                 Modalités : envoi CV et lettre de motivation                                               

Contact : clarisse.cazals@inrae.fr ; clemence.dedinger@inrae.fr 

Bibliographie indicative

Cazals, C., & Rivaud, A. (2014). Patrimoine sectoriel et performances: le cas de l’aquaculture. Économie et institutions, (20-21).

Cazals, C., Dachary-Bernard, J., & Lemarie, M. (2015). Land uses and environmental conflicts in the Arcachon bay coastal area: an analysis in terms of heritage. European Planning Studies, 23(4), 746-763.

Rivaud, A., & Cazals, C. (2012). Pour une vision élargie des performances de la filière ostréicole à partir d’une approche en termes de patrimoine. Développement durable et territoires. Économie, géographie, politique, droit, sociologie, 3(1).

Seminar: “Les collections vivantes au prisme des sciences humaines et sociales” – mercredi 16 décembre 14h30-17h30 “Donner l’illusion ?…”

Séminaire (en ligne) “Les collections vivantes au prisme des sciences humaines et sociales”
16 décembre 2020 – 14h30-17h30Donner l’illusion ? Matières vivantes, matériaux inertes et expressions de la vie
Au cours de cette troisième séance, nous discuterons des liens entre arts et sciences, des collections naturalisées, de la conservation des matériaux vivants ou issus du vivant, des techniques de recréation du vivant ainsi que des questions d’authenticité appliquées aux collections vivantes (illusion, artificiel, facticité…) autour des interventions de Lucienne Strivay (anthropologue, Université de Liège) sur la taxidermie et de Florence Tessier(archiviste-paléographe, conservatrice de la Bibliothèque de botanique du MNHN) sur les plantes artificielles…
Pour en savoir plus sur le programme du séminaire et de cette séance en particulier :https://colviv.hypotheses.org/programme-2020-2021

Et pour assister au séminaire ce mercredi 16 décembre, 14h30-17h30 :https://teams.microsoft.com/l/meetup-join/19%3a9e2f9ab5e8574e95a3f8cfbf1bc2ffa0%40thread.tacv2/1607619773924?context=%7b%22Tid%22%3a%22d0e03c67-e3f8-40c1-a4c9-42041d74b08e%22%2c%22Oid%22%3a%2227ede5c1-2686-43c6-b473-ea52811af419%22%7d

Publication: Stations thermales des Pyrénées béarnaises

Dans le cadre du programme européen Feder TCV-PYR, l’ouvrage “Stations thermales des Pyrénées béarnaises” par Viviane Delpech, vient de paraître aux Editions Le Festin.

Du voyage pittoresque au pyrénéisme, de la cure thermale au tourisme sanitaire et social, les Pyrénées n’ont cessé de fasciner érudits, monarques, artistes et, globalement, la société depuis plus de deux siècles. L’impératrice Eugénie, Victor Hugo, Eugène Viollet-le-Duc, Eugène Delacroix, sont autant de figures qui ont façonné l’image romantique persistante des stations pyrénéennes.

Dès le début du XIXe siècle, les villes d’eaux les plus prometteuses s’équipent d’établissements conçus par des architectes départementaux : dans les Pyrénées béarnaises, deux stations thermales principales voient le jour : les Eaux-Bonnes en 1828 et les Eaux-Chaudes en 1840, mais quelques autres sites comme Ogeu, Escot, Saint-Christau et les Bains de Secours perdureront dans l’ombre de leurs illustres rivales tout en tirant profit de leur dynamique pour rayonner localement.

Aujourd’hui, le patrimoine des stations béarnaises est dans un état préoccupant malgré sa valeur historique et architecturale. Afin de replacer ce phénomène au cœur de l’histoire de l’architecture et de signifier son rôle primordial dans une histoire longue du tourisme,une étude universitaire associant l’Inventaire est lancée. Elle permet cette publication qui inventorie, à travers trois itinéraires, le patrimoine bâti, mobilier et paysager toutes typologies confondues, de l’établissement de bains aux hôtels, du casino aux voies de transport, du parc paysager aux villas de plaisance.

Sommaire

AUTEURS:


Textes :

Docteur en histoire de l’art, Viviane Delpech est spécialiste de l’architecture du XIXe siècle, chercheur et enseignante.

Avec la participation de Mathilde Lamothe, docteur en ethnologie, spécialisée dans l’étude du patrimoine culturel immatériel.


Photographies : Adrienne Barroche est photographe au service du patrimoine et de l’Inventaire de la Région Nouvelle-Aquitaine.

Novembre 2020 / 112 pages / 15 x 21 cm / ISBN : 978-2-36062-255-9

CFP: ASA 2021 Taking responsibility for colonial heritage in Europe? Perspectives from organisational ethnographies

Postponed from last summer to next Spring, the Association of Social Anthropologists of the UK is ‘meeting’ in beautiful St Andrews on the issue of “Responsibility”. Timely. Sharon Macdonald, Jonas Tinius, and I are convening a panel with Henrietta Lidchi as discussant and we invite you to propose papers. Deadline is 28 December. 
“Taking responsibility for colonial heritage in Europe? Perspectives from organisational ethnographies.” 
Over the last decades, Europe’s heritage institutions have come under public scrutiny over their responsibility for representing societies in the making. From the toppling of Leopold II statues in Belgium, the activist ‘theft’ of colonial loot from the Louvre in France, to calls to demolish the nascent Humboldt Forum in the German capital, Europe is called out to take responsibility for its colonial past. What is at stake in these debates, often waged and initiated by civil society organisations and minority activist groups, is the role of heritage as public theorisers of society at large.
At the core of these tensions is a renegotiation of the responsibility of ‘the West’ for itself and the institutions and epistemologies that emerged with its colonial enterprise. Implicated in this debate is the role of anthropology. Its institutions and its forms of knowledge production are called to take responsibility for unjust pasts and just futures. But who speaks ‘for’ the ‘West’? And how do its institutions ‘take responsibility’ without reiterating the structural asymmetries of voices heard and silenced? If the institutions ‘take responsibility’, is this simultaneously an act of ownership and therefore potentially problematic? Are there ways of ‘taking responsibility’ that entail giving up responsibility – e.g. via acts of restitution?
This panel seeks ethnographic contributions on the responsibility of ‘the West’ in European heritage institutions. Who actually does the work in practice? And in whose name does it appear? We are interested in case studies from within heritage institutions in transition.
https://nomadit.co.uk/conference/asa2021/p/9983

Worshop: Vivre au temps du confinement : comment documenter ?, Festival Jeu de l’Oie, Aix Marseille Université 11 décembre 2020 11-13h00

Le Festival des sciences sociales et des arts ‘Jeu de l’Oie’, porté par Aix-Marseille Université, revient pour une deuxième édition 100 % numérique !  Du 10 au 12 décembre, venez découvrir une exposition virtuelle et des éclairages en direct autour du thème « Confinement(s). Tout un monde à l’arrêt ? ». 

Dans ce cadre nous vous invitons à rejoindre les intervenants de l’éclairage en direct « Vivre au temps du confinement : comment documenter ? » pour une discussion collective

le 11 décembre 2020 de 11h à 13h00

11h-12h : Ecoutez en direct l’éclairage : « Vivre au temps du confinement : comment documenter »?  sur le site https://festivaljeudeloie.fr/

12h-13h : participez à la discussion en vous connectant au lien suivant :  [https://guest.lifesize.com/6146946 | https://guest.lifesize.com/6146946 ] ou celui-ci [ https://call.lifesizecloud.com/6146946 | https://call.lifesizecloud.com/6146946 ] depuis la barre de votre navigateur.

Programme de l’éclairage Vivre au temps du confinement : comment documenter ?

Cette table-ronde réunit des intervenants issus de la recherche académique, d’institutions culturelles et du monde des médias, ayant réagi, dans le cadre de leur métier, à cette situation inédite du confinement. Si les métiers représentés sont hétérogènes (musées, archives, sociologie, journalisme), ces pratiques professionnelles sont unies par un geste commun : la collecte et l’enquête. Cette table-ronde vise à questionner ces pratiques : comment avons-nous fait ? Pourquoi réagir dans l’urgence ? Quelles ont été les difficultés, les surprises, les réussites ? Que faire de tout cela ?

Avec

François Petrazoller (collecte des Archives des Vosges),
Christine Dupont (collecte du Musée de l’histoire européenne),
Sarah Gensburger (CNRS-ISP, Défi collaboratif Vitrines en confinement)
Clémentine Spiler & Romain Jeanticou (Podcast Confinée.e.s)
Aude Fanlo et Simon Le Roulley (collecte du Mucem « Vivre au temps du confinement »)

Pour suivre l’actualité du festival, rendez-vous sur

CFP: ASA 2021 Taking responsibility for colonial heritage in Europe? Perspectives from organisational ethnographies

Postponed from last summer to next Spring, the Association of Social Anthropologists of the UK is ‘meeting’ in beautiful St Andrews on the issue of “Responsibility”. Timely. Sharon Macdonald, Jonas Tinius, and I are convening a panel with Henrietta Lidchi as discussant and we invite you to propose papers. Deadline is 28 December. 
“Taking responsibility for colonial heritage in Europe? Perspectives from organisational ethnographies.” 
Over the last decades, Europe’s heritage institutions have come under public scrutiny over their responsibility for representing societies in the making. From the toppling of Leopold II statues in Belgium, the activist ‘theft’ of colonial loot from the Louvre in France, to calls to demolish the nascent Humboldt Forum in the German capital, Europe is called out to take responsibility for its colonial past. What is at stake in these debates, often waged and initiated by civil society organisations and minority activist groups, is the role of heritage as public theorisers of society at large.
At the core of these tensions is a renegotiation of the responsibility of ‘the West’ for itself and the institutions and epistemologies that emerged with its colonial enterprise. Implicated in this debate is the role of anthropology. Its institutions and its forms of knowledge production are called to take responsibility for unjust pasts and just futures. But who speaks ‘for’ the ‘West’? And how do its institutions ‘take responsibility’ without reiterating the structural asymmetries of voices heard and silenced? If the institutions ‘take responsibility’, is this simultaneously an act of ownership and therefore potentially problematic? Are there ways of ‘taking responsibility’ that entail giving up responsibility – e.g. via acts of restitution?
This panel seeks ethnographic contributions on the responsibility of ‘the West’ in European heritage institutions. Who actually does the work in practice? And in whose name does it appear? We are interested in case studies from within heritage institutions in transition.
https://nomadit.co.uk/conference/asa2021/p/9983

Publication: Uneasy associations? Critique, cultural heritage and the Mediterraneaned. Claire Bullen (University of Tübingen) and Cyril Isnart (CNRS, Aix Marseille Université)

International Journal of Heritage StudiesThematic sectionUneasy associations? Critique, cultural heritage and the Mediterraneaned. Claire Bullen (University of Tübingen) and Cyril Isnart (CNRS, Aix Marseille Université)
In this thematic section in the International Journal of Heritage Studies exploring heritage-making in the Mediterranean region, we set out why it is still pertinent to explore heritage-making within such a spatial frame and discuss how exploring diverse ‘heritage associations’ can draw out relations of power in heritage-making dynamics in this part of the world.
IntroductionUneasy associations? Critique, cultural heritage and the MediterraneanClaire Bullen & Cyril IsnartPages: 1203-1207Published online: 09 Dec 2020Abstract | Full Text | References | PDF (555 KB) | 

Unravelling histories: researching uneasy heritage associations in Oran, AlgeriaClaire BullenPages: 1208-1220Published online: 28 Jan 2020Abstract | Full Text | References | PDF (953 KB) | 

‘Digging in the water?’ Grassroots urbanism, the Egyptian state, and the politics of heritage-making in post-revolution CairoClaire PanettaPages: 1221-1239Published online: 01 Apr 2020Abstract | Full Text | References | PDF (2302 KB) | 

Materiality, morality and (un)easiness. Association(s), anthropology and music heritage making in PortugalCyril IsnartPages: 1240-1252Published online: 26 Jan 2020Abstract | Full Text | References | PDF (1024 KB) | 

The Mediterranean and its uneasy heritage associationsNick DinesPages: 1253-1256Published online: 04 May 2020Abstract | Full Text | References | PDF (484 KB) | 

Seminar: De quoi les Ottomans sont-ils le nom ? La fabrique des mémoires collectives ottomanes” MMSH/Rech. Transv. USR/Iremam/Telemme/Lest/Cnrs

Le séminaire inter laboratoires soutenu par la MMSH dans le cadre de la recherche transversale (Iremam/Telemme) intitulé De quoi les Ottomans sont-ils le nom ? La fabrique des mémoires collectives ottomanes, organise sa 2e séance en visioconférence.
Espaces de référence pour penser les mémoires ottomanes Jeudi 10/12/2020/ 14h-16h30
Avec deux communications :   – Cyril ISNART (IDEMEC) : Désorienter le patrimoine en Méditerranée ?– Juliette DUMAS (IREMAM) et Lydia ZEGHMAR (IDEMEC / LEST) : ‘Orient’’, ‘‘Méditerranée’’ et ‘‘anatolisme’’ : le poids des géographies imaginaires dans le développement du tourisme en terres ottomanes et turques 

Zoom, accessible depuis le lien suivant :  https://univ-amu-fr.zoom.us/j/93003448228?pwd=OTUrY25GQTlzSmVKU1hjSkdZdEJSZz09ID de réunion : 930 0344 8228Code secret : 2LmqwJTrouvez votre numéro local : https://univ-amu-fr.zoom.us/u/adioAXAJ8N
Les organisatrices, J. Dumas, E. Grugeon, L. Zeghmar, R. Deguilhem
Page officielle
http://www.mmsh.univ-aix.fr/program/Pages/interLabos/ottomans.aspx

CFP: Quelle place pour le patrimoine dans les villes d’aujourd’hui ? (28/02/2021)

Revue Territoire en Mouvement« Quelle place pour le patrimoine dans les villes d’aujourd’hui ? »Les coordinatrices du numéro Pauline Bosredon et Marie-Thérèse Grégoris
Ce numéro cherche à faire le point sur la place du patrimoine dans la fabrique de la ville contemporaine, trente ans après l’engagement de politiques de valorisation des centres-villes et de politiques de régénération et de renouvellement urbain dans les anciens quartiers industriels. Après cette période d’effervescence des processus de patrimonialisation, comment le patrimoine participe-t-il aujourd’hui aux dynamiques urbaines ?Le questionnement général du numéro porte sur la part faite au patrimoine dans l’aménagement et les modes d’habiter de la ville contemporaine. Plusieurs entrées peuvent être envisagées :- Axe 1 : le patrimoine urbain face à l’urgence écologique et démocratique- Axe 2 : Les habitants dans les processus patrimoniaux- Axe 3 : Le patrimoine dans la planification et dans le projet urbain- Axe 4 : Conflits et sens du patrimoineVous trouverez le texte de l’appel à l’adresse suivante : https://journals.openedition.org/tem/6573 La date limite pour l’envoi des articles a été repoussée au 28 février 2021.