Monthly Archives: March 2024

Education: Formation sur le Patrimoine Culturel Immatériel à Salies-de-Béarn – Avril 2024

Le laboratoire ITEM de l’Université de Pau et des Pays de l’Adour et le Cirdoc – Institut occitan de cultura organisent une semaine de formation sur le Patrimoine Culturel Immatériel (PCI) du 8 au 12 avril 2024 à Salies-de-Béarn, en collaboration avec la municipalité de la cité du sel et la Corporation des Parts-Prenants de la Fontaine Salée.

Vous trouverez le programme de cette semaine de formation en cliquant sur le lien suivant :

https://occitanica.eu/items/show/60762

Seminar: 4th session on 26 March – Webinar series 2023-2024 “Intangible Cultural Heritage and Sustainable Development”

Webinar series

“Intangible Cultural Heritage and Sustainable Development”

Organized by the Unesco Chair on
Intangible Cultural Heritage and Sustainable Development

CY Cergy Paris Université
CY Advanced Studies – CY Initiative of Excellence
UMR Héritages : Culture/s, Patrimoine/s, Création/s

Session 4

Policy Developments on Crafts in Europe:
An Insight in Tracks4Crafts

Anita Vaivade, associate Professor of Cultural Heritage Studies,
Chairholder of the Unesco Chair on Intangible Cultural Heritage Policy and Law
at the Latvian Academy of Culture
26/03/2024 14.00-16.00 CET

By videoconference
https://cnrs.zoom.us/j/94804224217?pwd=TTZjZTN1Q2ZnclJIN2c1WFo0amJrdz09
Meeting ID: 948 0422 4217

Safeguarding traditional craftsmanship, defined as a domain of intangible cultural heritage in the Unesco 2003 Convention for the Safeguarding of the Intangible Cultural Heritage, may be connected to a diversity of policy and legal contexts, especially regarding a craft as an economic activity. These may include, among others, cultural policies to sustain the transmission of traditional knowledge and skills, and to support the work of creative professionals, as well as intellectual property policies aiming to secure economic benefits for innovation. While exploring examples of policy and legislative developments on crafts in Europe, a question will be asked on how these developments address the linkage between the work of an individual craftsperson and a broader heritage community.

This presentation will provide an insight into the work in progress and initial observations of the research project “Tracks4Crafts. Transforming crafts knowledge for a sustainable, inclusive and economically viable heritage in Europe“, funded by the European Commission research and innovation programme Horizon Europe (2023-2027, https://tracks4crafts.eu/). The Unesco Chair on Intangible Cultural Heritage Policy and Law at the Latvian Academy of Culture is one of altogether fifteen consortium partners.

Anita Vaivade is Associate Professor of Cultural Heritage Studies and Chairholder of the UNESCO Chair on Intangible Cultural Heritage Policy and Law at the Latvian Academy of Culture. Having background in humanities, cultural sociology and legal sciences, she is interested in intangible cultural heritage related domestic and cross-border regional policy and legislative developments in dialogue with the UNESCO 2003 Convention. She has led Latvian delegation to the UNESCO Intergovernmental Committee for the Safeguarding of the Intangible Cultural Heritage.

The last session of the webinar, originally scheduled for 16 April, has been postponed to 23 April.

Consult the programme of sessions

See the Chair’s presentation page

To subscribe to the Chair’s mailing list, write to: chaire-unesco-pcidd[at]cyu.fr

***

Série de webinaires

“Patrimoine culturel immatériel et développement durable”

Organisée par la Chaire Unesco sur
le patrimoine culturel immatériel et le développement durable

CY Cergy Paris Université 
CY Advanced Studies – CY Initiative d’excellence
UMR Héritages : Culture/s, Patrimoine/s, Création/s

Séance 4

Développements politiques sur l’artisanat en Europe :
Un aperçu de Tracks4Crafts

Anita Vaivade, maîtresse de conférences en études sur le patrimoine culturel,
titulaire de la chaire Unesco sur la politique et le droit du patrimoine culturel immatériel
à l’Académie lettone de la culture
26/03/2024 14.00-16.00 CET

Par visioconférence
https://cnrs.zoom.us/j/94804224217?pwd=TTZjZTN1Q2ZnclJIN2c1WFo0amJrdz09
Meeting ID: 948 0422 4217

La sauvegarde de l’artisanat traditionnel, défini comme un domaine du patrimoine culturel immatériel dans la Convention de l’Unesco de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, peut être liée à une diversité de contextes politiques et juridiques, notamment en ce qui concerne l’artisanat en tant qu’activité économique. Il peut s’agir, entre autres, de politiques culturelles visant à soutenir la transmission des connaissances et des compétences traditionnelles et à soutenir le travail des professionnels de la création, ainsi que de politiques de propriété intellectuelle visant à garantir les avantages économiques de l’innovation. Tout en explorant des exemples de développements politiques et législatifs sur l’artisanat en Europe, une question sera posée sur la manière dont ces développements abordent le lien entre le travail d’un artisan individuel et une communauté patrimoniale plus large.

Cette présentation donnera un aperçu du travail en cours et des premières observations du projet de recherche “Tracks4Crafts. Transformer les connaissances sur l’artisanat pour un patrimoine durable, inclusif et économiquement viable en Europe”, financé par le programme de recherche et d’innovation Horizon Europe de la Commission européenne (2023-2027, https://tracks4crafts.eu/). La Chaire Unesco sur la politique et le droit du patrimoine culturel immatériel de l’Académie lettone de la culture est l’un des quinze partenaires du consortium.

Anita Vaivade est maîtresse de conférences en études sur le patrimoine culturel et titulaire de la chaire Unesco sur la politique et le droit du patrimoine culturel immatériel à l’Académie lettone de la culture. Ayant une formation en sciences humaines, en sociologie culturelle et en sciences juridiques, elle s’intéresse à la politique régionale et aux développements législatifs nationaux et transfrontaliers liés au patrimoine culturel immatériel dans le contexte de la Convention de 2003 de l’Unesco. Elle a dirigé la délégation lettone au Comité intergouvernemental de l’Unesco pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel.

La dernière séance du webinaire, initialement prévue le 16 avril, a été reportée au 23 avril.

Consulter le programme des sessions


Voir la page de présentation de la Chaire

Pour s’inscrire à la liste de diffusion de la Chaire, écrire à : chaire-unesco-pcidd[at]cyu.fr

CFP: Atelier doctoral // Des musées (post)coloniaux en Méditerranée ? Muséographies, reconfigurations politiques et fabrique des identités 25-28 novembre 2024

Des musées (post)coloniaux en Méditerranée ?
Muséographies, reconfigurations politiques et fabrique des identités

25-28 novembre 2024

ATELIER DOCTORAL DU RÉSEAU DES ÉTUDES MAGHRÉBINES – REM

COORD. : Cyril ISNART (MMSH et IDEAS, Aix Marseille Université et CNRS), Tiziana N. BELTRAME (DiSSGeA, Università degli Studi di Padova, Italie)
ORG.: REM, École des hautes études hispaniques et ibériques (Casa de Velázquez, Madrid), Institut Jacques-Berque, Rabat, IRMC-Tunis et École française de Rome

APPEL OUVERT JUSQU’AU 22 AVRIL 2024 (15H00, HEURE DE MADRID)
Candidatures à travers le formulaire en ligne :
https://www.casadevelazquez.org/es/investigacion/proximas-actividades/novedad/des-musees-postcoloniaux-en-mediterranee

CASA DE VELÁZQUEZ
C/ Paul Guinard, 3 – Madrid

Résumé

En 2022, l’ICOM a adopté une nouvelle définition internationale de l’institution muséale. Le musée est un lieu de partage des connaissances au service de la société, ouvert, inclusif, participatif, durable. Et, sans le dire, la définition comprend une dimension postcoloniale. Sur les rivages de la Méditerranée, comme ailleurs, les musées ont été – et demeurent parfois – des caisses de résonnance des récits du passé et le lieu de démonstration des puissances coloniales et postcoloniales. Dans quelle mesure la nouvelle définition du musée y est-elle appliquée ? Les histoires singulières de chaque musée et de ses collections, les histoires coloniales des états, les changements de régime politique, le rôle des sociétés civiles et les critiques postcoloniales n’engagent pas tous les musées de l’espace méditerranéen dans le même courant de transformation. De quelles origines nationales le musée est-il le médium ? Comment relire des collections d’origine coloniale après les indépendances et la domination impériale ? Quelle est la place des minorités dans la transformation muséale ? Comment les innovations muséographiques, les demandes de restitutions ou les pratiques participatives, sont-elles reçues par les équipes de conservation et le public ? Jusqu’à quel point les musées s’affranchissent-ils des pouvoirs en place au profit de l’inclusion ? Quels sont les modèles et les repoussoirs des politiques culturelles et comment circulent ces innovations et ces résistances autour de la Méditerranée ? Comment actuellement, l’usage de la dénomination même de Méditerranée peut-il être porteur d’une colonialité toujours à déconstruire ?

L’objectif de cet atelier doctoral est d’aborder, dans le contexte méditerranéen et au-delà, les musées et leurs reconfigurations (post)coloniales, à différentes échelles temporelles et spatiales et à la lumière d’un dialogue interdisciplinaire.

Argument général

« Un musée est une institution permanente, à but non-lucratif et au service de la société, qui se consacre à la recherche, la collecte, la conservation, l’interprétation et l’exposition du patrimoine matériel et immatériel. Ouvert au public, accessible et inclusif, il encourage la diversité et la durabilité. Les musées opèrent et communiquent de manière éthique et professionnelle, avec la participation de diverses communautés. Ils offrent à leurs publics des expériences variées d’éducation, de divertissement, de réflexion et de partage de connaissances ».

Telle est la nouvelle définition internationale des musées adoptée en 2022 à Prague par l’Assemblée Générale de l’ICOM, l’organisation internationale qui régule le champ des politiques muséales.

Les études critiques en sciences humaines et sociales sur les musées et leur histoire ont insisté sur le rôle que ces institutions jouent dans la fabrique de l’identité nationale, en décrivant d’une part le musée comme une technologie de pouvoir (institution de reproduction du goût des élites et de la domination culturelle), et en démontrant d’autre part la mondialisation d’une conception occidentale de la culture, avec la circulation des classifications scientifiques ou des catégories de « patrimoine », « art », ou « collection ». En Méditerranée, les rapports de domination politiques et économiques entre les pays ayant mené la colonisation et ceux qui s’en sont émancipés, dessinent un paysage singulier de coopération et de résistance, de coordination et d’appropriation, qui rappelle d’autres contextes africains ou américains.

En prenant en compte une série de transformations que les musées ont connues ces dernières décennies (et dont la nouvelle définition de l’ICOM est un signe frappant), cet atelier vise à réfléchir sur les modes de gestion des musées et sur les pratiques de production des savoirs en situation coloniale et postcoloniale dans les sociétés méditerranéennes. Il souhaite ouvrir le débat sur ce que voudrait dire aujourd’hui le mot d’ordre « décoloniser le musée ». Comment la dimension postcoloniale bouleverse-t-elle les musées au Maghreb, en Europe du sud et au Moyen-Orient ? Quelles seraient les résistances au changement des pouvoirs en place et des organismes culturels ? Comment se négocient les récits du passé à travers les demandes de restitutions des biens spoliés ou l’enrichissement des collections héritées du passé ? Existe-t-il un grand partage entre musées du nord et musées du sud ou assiste-t-on à des circulations inattendues ? Quel est l’impact des grandes expositions programmatiques ou des négociations spectaculaires de diplomatie culturelle ? De l’autre côté de l’échelle, quelles sont les initiatives, aussi petites soient-elles, qui présentent des situations d’inclusion sociale dans les musées ?

La perspective interdisciplinaire de l’atelier doctoral, convoquant l’histoire, la géographie, l’anthropologie, la muséologie, l’archéologie, la science politique, l’art, etc., permettra de décloisonner des langages et des approches sur le monde muséal et ses reconfigurations spatiales, matérielles, symboliques et sociales à différentes échelles temporelles. En effet, il n’est pas toujours question d’expositions évènements ou de grandes négociations diplomatiques, les changements muséaux peuvent également être menés au quotidien, derrière la scène, par des gestes, des matières et des sensibilités en mutation qui accompagnent les objets culturels et leurs institutions de conservation dans leur devenir.

Organisateurs

Tiziana N. Beltrame, anthropologue (DiSSGeA, Université de Padoue, Italie)

Cyril Isnart, anthropologue, MMSH et IDEAS, Aix-Marseille Université et CNRS

Encadrants et conférenciers invités

Lotte Arndt, chercheuse au sein du projet « Reconnecting ‘Objects’ » et curatrice (Université technique de Berlin, Paris)

Julien Bondaz, anthropologue, maître de conférences à l’Université Lumière Lyon 2 et chercheur au Laboratoire d’Anthropologie des Enjeux Contemporains (Ladec, Université Lumière Lyon 2)

Emilie Goudal, historienne de l’art, Professeure au Centre d’Etude des Arts Contemporains (CEAC – Université de Lille)

Jamel Hajji, archéologue, Directeur du musée du Bardo (Tunis, Tunisie)

Job: Offre de post-doctorat “Mitigation and Adaptation in Cultural Heritage Landscapes” Ladyss / UGA

Contrat post-doctoral au sein de l’UMR Ladyss dans le cadre du programme Belmont Forum “Mitigation and Adaptation in Cultural Heritage Landscapes: Lessons from Transhumant Pastoral Systems for Managing Novel Climate Risks” (2024-2026)

Le poste conviendrait à un.e jeune chercheur.e en sciences humaines et sociales et en sciences des territoires (géographe, anthropologue…). Il sera basé sur les sites de Nanterre / Paris du Ladyss avec une période de terrain longue en Soule dans le Pays Basque. Un attrait particulier pour la thématique des études environnementales et les dynamiques des mondes agricoles et pastoraux en contexte de changements sera apprécié.
Vous trouverez les détails de l’offre ici, les candidatures se faisant exclusivement en ligne via le portail emploi du CNRS : https://emploi.cnrs.fr/Offres/CDD/UMR7533-MYRDJE-013/Default.aspx?lang=FR

La date limite pour répondre à l’offre est le 12 avril 2024 pour une prise de poste au 1er juillet.

[AM] Call for Chapters: Subversive Intrusions: Redefining the Museum Through Activist Interventions (Routledge)

Call for Chapter Proposals
Subversive Intrusions: Redefining the Museum Through Activist
Interventions (Routledge, Series in Museology, 2025 possibly Open
Access)

The editors are looking for original chapters and shorter
contributions (interviews, manifestoes, dialogues, etc.) for an
interdisciplinary edited volume exploring the phenomenon of artistic
and activist-lead intrusive performances in large European and
American museums.

Beginning with the iconic suffragette attacks at the start of the 20th
century, museums and galleries ー symbolically and politically charged
spaces serving as aesthetic repositories and public arenas ー have been
utilized as highly visible platforms. Here, diverse aesthetic and
political claims have been articulated, tested, and performed. These
performances, often situated at the intersection of radical political
and artistic expression, challenge established norms of conduct within
museum spaces, initially designated for passive cultural collecting,
aesthetic consumption and contemplation, while advancing critical
aesthetic and political agendas.

In 2014, exactly a century and two months after Mary Richardson’s
attack on The Rokeby Venus in the National Gallery, Deborah de
Robertis, a French feminist artist posed naked at Musée d’Orsay, in
front of Gustave Courbet’s Origine du Monde. This performance echoed
other feminist intrusions carried out by the Guerilla Girls, Pussy
Riot and FEMEN. In May 2018, Nigerian artist Jelili Atiku impersonated
a bronze statue, looted during the British conquest of Benin in 1897,
standing inside the Musée d’Aquitaine in Bordeaux, France,
passionately demanding its repatriation. In June 2020, Congolese-born
activist Mwazulu Diyabanza walked through the Musée du quai Branly in
Paris, seized a Bari funerary pole, and called for the return of
looted artifacts, sparking online attention and subsequent actions
across Europe. In May 2022, a climate activist smeared cake on the
Mona Lisa at the Louvre in Paris. This was the first of a string of
non-violent but disruptive actions in museums by the younger
generation of climate activists from European movements such as the
Extinction Rebellion, Letzte Generation, and Just Stop Oil. Their aim
was to garner increased mainstream attention toward the urgent issue
of the climate crisis, standing in line with previous actions by Not
An Alternative, Liberate Tate or BP or not BP? (Grindon 2023, Kinyon
et al. 2023, Pittas 2023)

Several common elements bring together these “subversive intrusions.”
Firstly, it is a subversive interaction with the museum space itself,
disrupting its initial purpose and generating social controversy. This
controversy extends into broader debates within and outside the art
world, addressing issues such as the colonial provenance of African
artifacts in European museums and their restitution, the museal
regimes of women’s representation, based on patriarchal
objectification, as well as the relationship between museums and
fossil fuel industries.
Secondly, these performances share similarities in semiotic and
conceptual operations (embodied metaphors, synecdoche, iconoclastic
gestures) and employed performative strategies based on open-ended and
future-oriented scripts. These scripts both describe and induce social
conflict, involving interactions with authorities, potential legal
charges, trials and the risk of detainment and deportation. The
immediacy of these conflicts makes them apparent and tangible to the
public inside and outside the artworld.
Thirdly, these actions are inscribed within the contemporary regime of
vision and attention, which has been profoundly influenced by the
pervasive presence of social media and screens. In the digital age,
the dissemination of these activist interventions is not only rapid
but also far-reaching, amplifying their impact and significance beyond
the physical confines of the museum space.

For analytical purposes, the volume is tentatively separated into
three larger parts:

Part I: Feminist and Queer Interventions

–               historical and contemporary performances that
challenge patriarchal objectification within the Euro-American art
world, and beyond,

Part II: Postcolonial Critiques

–               decolonial performances that critique cultural
appropriation and colonial legacies,

–               symbolic calls for repatriation and restitution of
looted artifacts to their rightful communities,

–               performances related to South-North migration and past
or present imperial expansions,

–               intrusions questioning the ethics of ethnographic museology

Part III: Ecological Protests

–               performances that subvert attention towards the
urgency of the climate crisis within museum contexts.

–               iconoclastic actions and disruption aimed at
challenging the complicity of museums with fossil fuel industries.

–               the role of Western museums in the struggle for climate justice.

Please feel free to propose chapters that may combine these topics or
expand the topics by suggesting novel directions.

By interrogating cases of gendered objectification, cultural
appropriation, and hierarchical monopolization of vision within
Western museums, the contributions to this book explore how these
performances (and the actors behind them) contribute to the
redefinition of the modern conception of the Western museum.

Please send an up to 500 word proposal to
nataliya.tchermalykh@graduateinstitute.ch by 8 April 2024. Please
include a short biography of the author(s). If you have an idea you
want to discuss further before submitting an abstract, don’t hesitate
to get in touch.

Schedule 2024

April 8: Submission of abstracts (500 words) and short bios (200
words) to the editor (nataliya.tchermalykh@graduateinstitute.ch)

April 15: Selection of abstracts and communication to applicants June
1: Submission of chapter outlines (2 pages)

September 1: Submission of full chapters (around 5000-6000 words)
September-December: Revisions

2025: Submission and Publication of the book

Workshop: Labex PasP/MSH Mondes – Séminaire RESCI “Retours, restitutions, circulations” – 26 mars – VISIO

Journée d’études

dans le cadre du séminaire

Retours, restitutions, circulations (RESCI) 

26 mars 2024, de 14h à 18h« Conflits du XXe siècle : retours, restitutions, circulations et enjeux des après-guerres »

MSH Mondes, bâtiment Ginouvès, salle du Conseil, 4e étage, et simultanément en visioconférence 
inscription avant le 25 mars 2024, à l’adresse resci-seminaire@passes-present.eu

Session 1 : Les enjeux de vocabulaire.

« Retour ou restitution ? », Xavier PERROT, professeur d’histoire du droit et des institutions (Université Clermont Auvergne, membre du Collège délibérant de la CIVS)

« Le cas des rapatriements des œuvres d’art du musée des Beaux-Arts d’Alger », Emilie GOUDAL, professeure au Centre d’Étude des Arts Contemporains (CEAC – Université de Lille)

Discutante : Ghislaine GLASSON DESCHAUMES (directrice, MSH Mondes, labex Les passés dans le présent)

Session 2 : Réinvestir les patrimoines.

« « L’ère des restitutions, théoriquement, n’est pas close » Les restitutions allemandes à l’issue de la Grande Guerre, un processus inachevé ? », Solène AMICE, docteure en histoire du patrimoine (Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, Centre d’histoire du XIXe siècle) et adjointe à la cheffe du service Patrimoines et Inventaire de la Région Ile-de-France.

« Circulations physiques et médiatiques des patrimoines controversés. Le cas de la Statue de la Paix (Corée) », Céline MORIN, maîtresse de conférences en Sciences de l’information et de la communication et co-directrice du département Information-Communication, et Marta SEVERO, professeure en sciences de l’information et de la communication (Université Paris Nanterre, Dicen-IdF).

Discutante : Margaux DUMAS (postdoctorante, labex Les passés dans le présent)

Retrouvez le programme 2024 du séminaire RESCI sur le site de la MSH Mondes et du labex Les passés dans le présent
Pour toute question, merci d’écrire à l’adresse :
 resci-seminaire@passes-present.eu

Seminar: Séminaire Mémoires et patrimonialisations des migrations

La prochaine séance du séminaire “Mémoires et patrimonialisations des
migrations » aura lieu jeudi 28 mars de 14h30 à 16h30 salle 25A,
Campus Condorcet, Bâtiment de l’EHESS, 2, Cours des humanités 93300
Aubervilliers. La présence est obligatoire pour les masterant.e.s qui
souhaitent le valider.

Séminaire du LAP/LACI, animé par

Michèle Baussant, directrice de recherche au CNRS, CEFRES/ISP, Fellow ICM
Marina Chauliac, anthropologue au ministère de la Culture (DRAC
Auvergne-Rhône-Alpes), chercheure au LAP-LACI, Fellow ICM
Irène Dos Santos, chargée de recherche au CNRS, URMIS, chercheure
associée au LAP/LACI et Centro em Rede de Investigaçao em Antropologia
(Lisbonne), Fellow ICM
Catherine Perron, chargée de recherche, CERI – Sciences Po
Évelyne Ribert, chargée de recherche au CNRS, LAP-LACI, Fellow ICM

2e et 4e jeudi du mois : 14:30-16:30

Nous écouterons :

Ewa Tartakowsky (CNRS/ISP) et Piera Rossetto (Ca Foscari University) :
« Les formes matérielles des appartenances : objets d’exils, objets en
exils »

Résumé : Notre intervention portera sur les liens que les individus
entretiennent avec les objet en/d’exil, qu’il s’agisse des migrant.e.s
ou des chercheuses et chercheurs. Comment les objets chargés de
significations changent selon le contexte et la temporalité ? De
quelle manière supportent-ils des « mémoires communes », malgré leurs
singularités et leurs hétérogénéités ? Plus généralement, comment se
construit la dialectique entre le singulier et le commun à différentes
échelles à travers l’attachement aux objets ?

Voici le lien vers le dossier complet coordonné par Ewa Tartakowsky et
Piera Rossetto https://unipub.uni-graz.at/mcsj/periodical/titleinfo/8082181

CFP: Les réserves de musée. Etat des lieux et nouveaux défis, octobre 2024

Conférence internationale “Les réserves de musée. Etat des lieux et nouveaux défis” 

qui se tiendra à l’université Sorbonne Nouvelle du 29 au 31 octobre 2024, en lien avec l’ICOM.https://icom.museum/fr/news/appel-a-communications-les-reserves-de-musee-etat-des-lieux-et-nouveaux-defis/

CFP: Reconversion du patrimoine industriel pour l’enseignement supérieur et la recherche – Colloque – Journées scientifique de Nantes Université 11 juin 2024

Reconversions du patrimoine industriel pour l’enseignement supérieur
et la recherche

Nantes, 11 juin prochain
dans le cadre des Journées scientifiques de Nantes Université.

*La date limite de renvoi des propositions a été reportée au 29 mars 2024*

Ce colloque est organisé par le Centre François Viète, Epistémologie,
Histoire des sciences et des techniques avec le soutien du CILAC
(Comité d’Information et de liaison pour l’archéologie, l’étude et la
mise en valeur du patrimoine industriel du LARA, Laboratoire de
recherche ARchéologie et Architectures / UMR
6566 CReAAH, Nantes Université du CRHES, Centre de Recherche et
d’Études Histoire et Sociétés (UR 4027), Université d’Artois, de
Nantes Université, DPIL, Direction du Patrimoine immobilier et de la
logistique et la participation du LS2N, Laboratoire des sciences du
numérique de Nantes

Les propositions sont à renvoyer pour le 29 mars à
jean-louis.kerouanton@univ-nantes.fr

La page web est ouverte, elle sera amendée et  mise à jour progressivement

https://js.univ-nantes.fr/colloques/cl10-reconversions-du-patrimoine-industriel-pour-lenseignement-superieur-et-la-recherche

Workshop: Journée d’étude sur le patrimoine industriel et aéronautique (Toulouse, jeudi 14 mars 2024)

Patrimoine industriel – Patrimoine aéronautique

Journée d’étude du Jeudi 14 mars 2024

Maison de la recherche de l’université Toulouse-Jean Jaurès

8h45 – 17h – Salle D. 31 (MDR1)

Programme de la journée :

8h45 : accueil des participants devant la porte située du côté de la
BUC (car plan Vigipirate)

9h – 9h10 : brève introduction par Jean-Marc Olivier (UT2J/Framespa/Labex SMS)

9h10 – 10h : tour de table avec présentation de chacun.e (recherches en cours)

10h – 10h30 : Wielfried Dufaud (association
Réplic’Air/Airworthiness/AURA AERO) : “La restauration d’un Dewoitine
D.551″

10h30 – 10h45 : pause café/thé…

10h45 – 11h45 : Laurent Poupard (Région Bourgogne-Franche-Comté,
Service Inventaire et Patrimoine) : “Réflexion sur la notion de
patrimoine industriel à partir de l’exemple de la Franche-Comté”

11h45 – 12h15 : Cécile Bronn (INALCO/UT2J) et Jean-Pierre Chellet
(association “Les Ailes Rouges”) : “L’épopée de la résurrection du
Caudron Simoun au Japon”

12h30 – 14h : Déjeuner au Café Bleu (offert aux intervenants)

14h – 15h : Nathalie Regagnon et Fabienne Péris (archives
départementales de la Haute-Garonne) : “Collecter et faire connaître
les archives aéronautiques et spatiales : le rôle-clé des services
publics d’archives”

15h – 15h30 : Frédérique Gaillard (UT2J/DDAME/LERASS) : “La
photographie aéronautique : un écosystème complexe et singulier”

15h30 – 16h30 : conclusions et débats